9 janvier 2016
CDG – Paris: bus, RER ou voiture?
Comment aller à l’aéroport Paris-CDG?
L’aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle est dans le Top 10 des aéroports les plus fréquentés dans le monde. Cependant, il est un des seuls à ne pas être relié par une ligne de train express.
Plusieurs solutions sont proposées aux voyageurs. Sur rail, vous pouvez vous rendre à CDG en RER mais il est conseillé de voyager léger (en nous confiant vos bagages par exemple). Sur route, bus, taxi ou vtc se livrent une bataille sans merci mais attention aux bouchons.
Depuis le dézonage du forfait Navigo, le week-end et les jours fériés, les aéroports sont accessibles avec votre forfait habituel.
Enfin, pour ceux qui doivent aller à CDG avec leur propre véhicule, vous avez encore le choix: parking pas cher ou un des nouveaux concepts Ector et TripnDrive.
Pensez aussi à vérifier le terminal à partir duquel vous partez, les temps de trajet peuvent varier considérablement en fonction. Il faut compter environ 10 minutes pour relier les terminaux 1,2 et 3 en CDG-Val (gratuit).
Transports en commun
Moyen | Prix du Trajet (Aller-Simple) | Temps du Trajet (estimation) | Facilité avec des bagages |
---|---|---|---|
RER B | 9.75 euro | 1h | 1/5 |
Bus RATP 350 | 6 euro | 1h40 | 1/5 |
Bus RATP 351 | 6 euro | 1h40 | 1/5 |
RoissyBus | 11 euro | 1h15 | 1/5 |
Le Bus Direct (Cars AirFrance) | 17 euro | 1h | 2/5 |
EasyBus | à partir de 1 euro | 1h | 2/5 |
SuperShuttle | à partir de 27 euro | 1h | 3/5 |
En Voiture ou Moto
Moyen | Prix du Trajet (Aller Simple) | Temps du trajet (estimation) |
---|---|---|
WeCab | à partir de 30 euro | de 40min à 1h20 selon la circulation |
Taxi/VTC | à partir de 48 euro | de 40min à 1h20 selon la circulation |
Marcel | à partir de 42 euro | de 40min à 1h20 selon la circulation |
Uber | à partir de 45 euro | de 40min à 1h20 selon la circulation |
CityBird - Taxi Moto | à partir de 65 euro | 40min |
SnapCar | à partir de 49 euro | de 40min à 1h20 selon la circulation |
BlaBlaCar | environ 3-5 euro | incertain |
Parking à CDG
Moyen | Prix pour une semaine | Spécificités |
---|---|---|
Econopark | 59 euro | Rendez-vous au parking et transfert en navette |
AerPark | 60 euro | Rendez-vous au parking et transfert en navette |
Ector | 80 euro | Un voiturier vous attend à l'aéroport, vous lui donnez les clés et voila. |
Tripndrive | 0 euro | Stationnez gratuitement votre voiture. Tripndrive se charge de la louer à un membre de confiance de la communauté. |
Si des informations vous semblent erronées ou manquantes, vous pouvez nous demander une correction.
29 décembre 2015
Kitesurf : Bien préparer son sac
Avant de commencer, pensez à enlever les ailerons de vos planches pour ne pas trouer votre boardbag. Vous pouvez laissez les straps mais entourez votre board avec une serviette et votre combi pour la protéger.
Il est aussi conseillé d’éviter de prendre harnais et barre en cabine, certaines compagnies sont assez rigides.
On ne va pas tourner autour du pot plus longtemps. Voici la liste des objets à ne pas oublier avant de partir faire du kitesurf sous les tropiques.
Comment bien préparer son sac de Kitesurf ?
Essentiels
- Le boardbag (roulettes indispensables, choisir en fonction de la taille et du poids à vide)
- 2-3 ailes en fonction des dernières prévisions (choisir son kite en fonction du vent et de son poids)
- Sacs de compression (Housses sous vide pour vos ailes),
- Une barre (ou deux) adaptée à vos ailes (barre universelle),
- Une planche adaptée au spot et l’activité visée,
- Le harnais,
- Deux leash (un second en cas de perte),
- La combinaison adaptée à la température de l’eau de votre destination (bien choisir sa combinaison),
- Des chaussons en néoprène (selon le spot),
- Des lunettes de soleil qui flottent et leur cordon,
- De la crème solaire,
- Un tee-shirt à manches longues anti-UV,
- Une casquette, bonnet ou béret,
- Une paire de gants ou mitaines pour éviter les ampoules,
- La pompe (car on ne peut pas toujours en emprunter une),
- Un tournevis (à mettre en soute, pas en cabine),
Facultatifs
- Un kit de réparation (patchs, colle, etc.),
- Une trousse de secours (pansements étanches, Ibuprofen/Voltaren, etc.),
- Le casque,
- Quelques vis (à mettre en soute, pas en cabine),
- Des clés Allen (à mettre en soute, pas en cabine),
- Une veste d’impact,
- Votre Gopro et ses accessoires,
- Une serviette,
- Deux boardshorts,
- Un sac étanche (pour mettre ses clés de voiture, passeport, etc.).
Et pesez votre sac avant d’aller à l’aéroport, cela pourrait éviter certaines mauvaises surprises.
Pour savoir quel est le règlement des compagnies aériennes pour ceux qui voyagent avec leur kitesurf, allez faire un tour sur « Voyager avec un kitesurf, combien ça coûte »
8 décembre 2015
Les vacances de l’entrepreneur 2.0
Et oui, vous ne partez pas vous dorer la pilule, vous allez « entretenir votre réseau » comme ils disent. Comme chez nos amis californiens, des voyages de vacances réservés aux entrepreneurs français sont organisés plusieurs fois par an avec pour but: échanger mais surtout kitesurfer.
Les vacances pour les entrepreneurs
MaiTai pour la Silicon Valley, Galion Project et KiteConnect pour la France, les vacances-networking pourraient ainsi devenir des rendez-vous immanquables pour les entrepreneurs.
Débutant ou confirmé, vous allez pouvoir pratiquer le kitesurf sous l’œil avisé d’un professionnel. La journée continue autour d’un cocktail à écouter pitchs, conférences ou simplement discuter de ses expériences, ses doutes ou ses problèmes. Des tables rondes ou autres jeux collaboratifs sont organisés pour favoriser les échanges.
Mais pourquoi cela marche-t-il ?
Le networking est souvent l’activité redoutée par les jeunes entrepreneurs. Il est en effet plus agréable de rester derrière son écran à travailler que d’aller se confronter aux sourires condescendants d’inconnus à l’écoute de notre idée révolutionnaire.
Mais apparemment, avoir vu son interlocuteur boire la tasse après s’être fait brasser par les vagues serait un excellent moyen de briser la glace.
Ces moments privilégiés sont uniques pour présenter de nouvelles idées. L’audience est décontractée et moins sollicitée qu’elle pourrait l’être à d’autres événements. MaiTai, par exemple, aurait été une étape importante dans le succès que sont Canva et Aloha, projets qui auraient pu avoir du mal à émerger sans cela.
Le Kitesurf, un sport pour toutes et tous
Présenté comme le « golf des entrepreneurs numériques », le kitesurf connait un très fort succès pour deux raisons:
- notre absence totale de condition physique n’est pas ici un problème. Les bras, musclés à la souris et au smartphone, sont peu sollicités, la traction du cerf-volant (le kite) étant transféré par le harnais.
- le kitesurf est un excellent moyen pour passer quelques heures seul sur l’eau, loin des emails et notifications.
Un bon entrepreneur est-il un bon kitesurfeur ? ou l’inverse?
Certains vous expliqueront aussi que le kitesurf requiert toutes les qualités nécessaires pour être un bon entrepreneur :
- être persévérant, car il faut répéter et répéter des gestes qui paraissaient si simples depuis la plage,
- ne pas avoir honte de l’échec, même lorsqu’on s’étale dans le sable, tracté par son kite, devant une plage médusée qui pensait admirer votre style de rider (c’est arrivé à un ami…),
- savoir anticiper les trajectoires des personnes sur l’eau et les vagues,
- être réactif quand l’idiot du village mais très bon kiteur, rate sa réception 5 mètres devant vous,
- savoir calculer les risques à prendre avant de tenter ses premiers sauts, tricks et autres joyeusetés.
Google, Virgin, BlablaCar. Pourquoi pas vous?
Le kitesurf s’est trouvé de célèbres représentants chez les entrepreneurs comme les fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, ou la rockstar Richard Branson qui a découvert le kitesurf grâce au fiston.
Depuis, Mister Branson sponsorise les championnats du monde mais aussi le Virgin Kitesurfing Armada, festival de kitesurf et tentative de record du monde.
Nos entrepreneurs bleu-blanc-rouge pratiquent aussi ce sport : Jean-Baptiste Rudelle (Criteo), Pierre Kosciusko Morizet (PriceMinister) ou Frédéric Mazzella (BlaBlacar) sont à l’origine du Galion Project et participent aux différents événements.
Un club (trop) select ?
Pour intégrer ces réseaux, vous devrez être parrainé par deux autres membres du club mais aussi avoir un certain bilan en tant qu’entrepreneur. Mais le principe est en développement et il est probable que nous voyons apparaître d’ici quelques mois d’autres événements aux conditions d’accès un peu plus souples.
Nous devrions aussi entendre parler d’événements version « neige » pour avoir cette fois-ci une bonne raison de prendre une semaine en hiver et pouvoir discuter entrepreneuriat autour d’une fondue. En attendant que l’offre s’étoffe un peu, il parait logique, voire même vital pour son entreprise, de profiter de cette année pour travailler sa technique de kitesurfeur.